Le chef départemental de la Milice des Basses-Pyrénées, après le meurtre du jeune Marcuillat à Barcus, craint une mise en cause de son organisation. Il en réfère à son supérieur hiérarchique en dénonçant l'action des engagés de la 8e compagnie du 3e régiment de la Division Brandebourg en formation à
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